Puisqu’il faut mourir maintenant, il est temps de tout admettre.
Que recherchait-il ? Cette ataraxie mégalomane qu’est l’amour ? Une intransigeante acmé ? On ne le sait : il s’est contenté de céder à ses plus basses pulsions, et c’est dans le son consécutif à la mort de l’humanité qui ce soir s’est cherchée et perdue, par un embrouillamini inextricable de membres et de cris, que la fin vient.
La fatigue même a disparu. Quelques dérisoires bonjours, ironiques plus qu’espérant en leur crédibilité, n’y changeront rien. Mes yeux sont désormais ouverts sur la liberté, comme des soucoupes… de tasses à café.
La nervosité m’accable mais je trouve l’amusement. Je scrute, impavide, les inter-galaxies trébuchantes, les fessiers alléchants. Intra-glose ? Oui, mais le glossateur est le réveilleur.