Alors ce serait ainsi, la mort ?!
Ce vain et puéril réconfort.
Sa simple idée ne me touche pas
Quand elle n’est que vulgaire appât.
Les larmes refoulées des orbites,
Vain et insupportable prurit,
Finissent par couler d’intérieur,
Pensant à l’insoupçonné malheur.
Il faudra leur dire doucement,
Que ma mort vaine ne les concerne
En rien, malgré tout l’amour pour eux
A qui je manquerai sûrement,
Mes larmes de pendu en lourds cernes
Refleurissant mon amour pour eux.